Candy, le retour d’Albert

Candy, le retour d'AlbertAlbert, soupçonné d’être un espion, est devenu amnésique pendant la Campagne d’Italie. Il est interné dans l’hôpital où travaille Candy, son ancienne amie. Candy poursuit des études d’infirmière et est très bien vue par son chef de service. De surcroît, elle est fidèle en amitié et il lui tient à cœur d’aider à son tour Albert à retrouver son identité. Que faire ? Les traitements tentés jusqu’alors restent lettre morte et Albert se déprime de plus en plus, se sentant démuni, fardeau,intrus et objet de méfiance. Albert va entreprendre un long voyage à la recherche du temps perdu.Candy va l’y aider par tous les moyens, de toute sa générosité, en partageant un appartement avec lui, persuadée que les gestes du quotidien lui serviront de fil d’Ariane pour restructurer son vécu enfoui. Terry, le petit ami de Candy, pourrait en prendre ombrage. Ce qui serait inadmissible pour n’importe qui d’autre ne l’est pas avec Candy. Terry accepte la cohabitation, au nom de la thérapie, et n’a qu’une obsession : faire venir Candy etAlbert à New York pour la premières de «Roméo et Juliette»dont il est la vedette. Bonne petite histoire sans heur ni malheur qui se déroule sans choc ni passion,bien à plat.

La fiancée du Schtroumpf bricoleurLa fiancée du Schtroumpf bricoleur

Le bricoleur a élaboré un scaphandre ultra sophistiqué voisin de l’arrachement d’un cosmonaute. Son rythme de croisière sous-marine est insufflé par les «haut, hisse» de la blonde Schtroumpfette. Au détour d’un mollusque, il rencontre une ravissante sirène : Maréna. La femme-poisson fait un court séjour au pays des nabots bleus dans une bassine alimentée en bulles. Elle cherche, pour son père malade, des racines de fleurs de lys au marais de Brocéliande. Mais voilà, le marais est jalousement gardé par un redoutable gourmand. Des aventures rocambolesques attendent les dévoués petits bleus. Le père pourra guérir et la sirène voguer vers son bercail, suivie par le scaphandrier amoureux. Un Schtroumpf dans la mer, c’est comme un poisson hors de l’eau. Schtroumpfe qui pleut la vie ! «Schtroumpf d’avril». Le grand chef de village à perruque rouge fait un discours, en ce jour des poissons, pour autoriser facéties, humour, blagues débiles et cie. Quel est le bouc émissaire tout désigné ? Vous avez deviné. Le plus pointu, celui qui précisément ne se schtroumpfe pas de lui-même : le Schtroumpf à lunettes. Pas question non plus d’épargner l’ennemi légendaire, celui qui, accompagné de son sac à puces d’Azrael, veut la peau des vermines bleues. C’est à cet infâme apprenti sorcier qu’échoira le plus gros schtroumpf d’avril. «Le bâton enchanté» résulte d’une formule de l’enchanteur Omnibus. C’est un morceau de bois terminé par deux branches qui se déplace tout seul, fait disparaître les choses et les restitue. Ce bâton tombe dans les mains du maladroit Schtroumpf et les catastrophes s’enchaînent. Encore une formule, celle là d’invisibilité des êtres, mise au point par le chef des trapus : le sorcier démoniaque s’en empare. In extremis sur le papier la formule originale est falsifiée ; la maison de Gargamel vole en éclats ! Le «Casse-Schtroumpf» n’a plus de maison. Il est hébergé par ses semblables. Et l’intello à lunettes — puisqu’il est à l’honneur — fiche la pagaille dans les intérieurs bien proprets. Il doit se réfugier dans la forêt, faire pénitence avant de se racheter en sauvant nos petits favoris de la mort. «Le petit cœur d’Hogatha» s’émeut encore, malgré l’âge et la décrépitude. Il a jeté son dévolu sur le plus célèbre des magiciens : le grand Danova. Gargamel est en bisbille avec la vieille peau d’Hogatha : il se déguise en Danova et rend visite à l’amoureuse. Arroseur arrosé ?

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